Episode 2

Trois mois après l’expédition sur terre, l’escouade est appelée pour une mission de leur corpo sur Pandora, la lune la plus éloignée de Saturne.

Tous regroupé dans un construct virtuel entièrement blanc, le groupe se retrouve devant une IA, notre mission, intervenir sur Brad Kodel, dans une colonie, pour secourir une équipe de 7 personnes envoyée il y a neuf jour afin de débuter le développement d’une colonie. Colonie que l’équipe devra venir sécuriser dans quelques jours. Le groupe des 7 personnes précédemment envoyé n’ont plus donner signes de vie depuis plusieurs jours, et aucun signe de vie n’a été aperçu après visite d’un drone.

Voici la description sommaire de la planète par le drone : Naine Orange, 0,77 g, non respirable et rocailleuse.

Après une négociation échouée avec Linda Hilton de la part de Skim afin d’obtenir une boite bleue (boite permettant de se connecter à la porte), le groupe s’en procure une de manière illégale au marché noire. On n’est jamais trop prudent.

Passage de la porte, la sensation est toujours aussi bizarre même si, avec l’habitude, on oublie. Nous tombons à quelques dizaines de mètres de la station qui a commencé à être construite.

Instinctivement, le groupe se met à réparer la station (système de survie, corne d’abondance et autres instruments nécessaire au bon fonctionnement du camp).

Après sécurisation et exploration avec le drone de Leopold, un camp d’autochtone est repéré à quelques kilomètres de là. Leopold y va directement, sans se poser trop de question, sûr de ces compétences et de son matériel si les choses venaient à dégénérer. Iceberg, usant de ses talents de surévolué simiesque, s’infiltre discrètement sur les toits tandis que Skim et Lens restent en retrait au cas où.

Les autochtones ressemblent à des humanoïdes très déformés, ayant un bras plus long d’un côté, des pieds « à l’envers » ou bien encore une tête située sur l’abdomen sans même un cou entre les deux. Leur peau est d’un rouge cendre et semble vivre quasiment nu. Leur habitation ne possède pas de technologie apparente et rien ne laisse supposer qu’ils se nourrissent.

Vix quant à elle, se rapproche et tente un contact psychique avec une des formes sombres habitant le village, la communication reste simple et basique, ils n’ont même pas l’air de savoir compter, mais ce qui semble le plus bizarre c’est la présence de chien, au nombre de 3, qui ont l’air de nous appeler au secours. Après quelques échangent très simples, nous apprenons la présence d’un camp de « Sauvages » un peu plus loin.

Après quelques heures, une cloche se met à sonner et tous les habitants se dirigent vers le grand bâtiment principal. Dans le même temps, les scanners du groupe leurs apprend que du matériel Gatekeeper Corporation, ayant certainement appartenu à l’équipée recherchée, est stocker au centre du village, près de ce grand bâtiment justement.

Tout le monde s’y rend, sauf Ice, bien décidé à vérifier la provenance de cet équipement. Etrangement, tous les autochtones se tournent vers un des leur et ce qui semble être une longue prière bizarre commence. Skim, Lens, Leopold et Vix entre dans la salle de prière et assiste au rituel, bizarre, consistant à sacrifier brutalement un des autochtones.

Pendant ce temps, Ice parcours le village, explorant toutes les habitations, à la recherche d’une chose bizarre, ce village semble trop innocent. Il finit par trouver une pile, et au moment où même il le communique à ses compères, toutes les personnes dans la salle se retourne vers le groupe, et se rapproche doucement.

Nos 4 aventuriers prennent donc la fuite, se dirigeant vers le village des sauvages, où, après quelques heures de marchent forcée, il y a exactement la même chose. Seule la présence d’un peu de végétation, car situé proche d’une « forêt », et des habitations beaucoup plus chaotiques et vétustes marque la différence. Il y a toujours cette présence des chiens qui parait suspecte au groupe.

Leopold continue l’exploration de la forêt avec son drône, jusqu’au moment où il pique au sol sans explications logique. Ice passe d’arbre en arbre pour voir ce qui se passe à cet endroit, il ne voit rien si ce n’est le drone, qui semble en parfait état, au sol. Il le récupère et le restitue à Leopold.

Iceberg entend et ressent un bruit sourd, très discret, qui ressemble à une alarme, en regardant du haut d’un arbre, il voit beaucoup de ces créatures se diriger vers le village de sauvages.

Vix capture un chien, et le groupe fuit à toute allure, se dirigeant vers le camp de base. Bonne idée, le village des autochtones attendait les aventuriers de pied ferme dans ce qui semble être une « position de guerre ».

Skim se connecte au drone pour essayer de voir ce qui s’est passé au-dessus de la forêt, c’était en revanche, une terrible idée. Le hackeur reçoit immédiatement une décharge cérébrale qui le blesse et se déconnecte de suite.

Arrivée au camp, Skim essaye d’ouvrir la porte grâce à la boite bleu pirate, mais, le plus piraté dans cette situation, c’est lui. Il souffre beaucoup, le « code » des portes est complexe et faire ça avec du matériel pirate, dans une situation stressante est encore plus compliqué. Mais l’idée de devoir affronter 400 autochtones bizarres le remotive et décide de prendre sur lui.

En attendant que le portail s’ouvre, toute la planète arrive bientôt sur nous. Quelques autochtones se fusionnent pour former des géants de 8m de haut.

Sur le chemin, des pièges ont été posés par Lens et Leopold pour les ralentir, et le feu est ouvert par tous les aventuriers !

Rapidement, les compétences militaires de Lens et Leopold portent les fruits. Un géant tombe, puis deux, la menace se rapproche pourtant, mais le portail fini par s’ouvrir. Merci Skim !

Le groupe passe à travers, mais au dernier moment, alors que c’est une erreur à ne pas commettre, Skim qui à cause du stress et de sa condition mentale quelque peu altéré depuis son passage sur Terre, laisse derrière lui la boite bleue, juste avant que le portail ne se referme.

Vix, pendant son transfert d’une planète à une autre entend la porte lui parler, tout cela semble être un mauvais présage.